Comme vous l'aurez constaté, je suis un peu (beaucoup) (méga) (super énormément) ... à la bourre. En plein dans le lettrage de ma BD pour les Travaux Personnels Encadrés (une des épreuves du
BAC), que j'espère vous montrer très vite (ceux qui me suivent sur Twitter ont la chance d'en avoir vu des tout petits bouts, mais je réserve le plus beau pour le blog bien sûr), il y a aussi les
révisions pour mon Oral-Blanc-Pas-Si-Blanc-Puisqu'il-Compte-Coefficient-Mille de Français (à ce propos, délaisser le blog quelques temps a été payant pour l'écrit, j'ai eu 18 !!!), les autres
Devoirs Surveillés, Interrogations et Travaux à rendre en tout genre qui s'accumulent, quelques trucs pour l'UMP (mais je ne m'étale pas, je ne veux froisser personne et c'est un blog BD ici ^^)
et des tas d'autres choses que j'aimerai parfois ne pas avoir à faire mais qui sont prioritaires et contre lesquelles je ne peux rien faire, à part prendre mon courage à deux mains et foncer dans
le tas.
Pour ce qui est de l'arbre à mots, je n'ai pas eu le temps de faire le récap, ni même de vous montrer ma contribution (j'espère faire ça très vite, avant mercredi !) Et je m'excuse tout plein.
Pour ce qui est des commandes de MALOPIE, les numéros que j'ai commandé arrivent à dos de chameau (autant dire qu'il faut d'abord attendre que le chameau arrive du Sahara puis qu'il daigne venir
à Lille) mais je vous tiens au courant !
Pour ce qui est de la semaine qui arrive, vous aurez quand même des articles, programmés pendant les dernières vacances.
Pour ce qui est des cartes de voeux que j'ai reçu de votre part à tous, je vous en remercie et j'espère avoir très vite le temps de faire un bel article pour vous remercier !
Sur ce, je vous fait des milliers de bisous expresssssss !!!
Beaucoup critiquent Green Day, leur reprochant de faire une musique trop commerciale, de ne pas être anglais (comme si pour être un bon rockeur, il fallait être né à Londres) et
surtout de ne pas être de vrais punks. Personnellement, je crois qu'il est temps de dire aux punks puristes qu'à force de faire dans la sélection, ils s'éloignent de leur idéal et surtout, ils
finiraient bien par en oublier le plus important dans cette histoire : LA MUSIQUE.
Il m'aura suffit d'acheter Kerplunk pour être persuadée que Green Day n'était pas seulement une bande de bonshommes qui se peignent le contour des yeux en noir
et rentrent sagement se coucher le soir. Il m'aura suffit d'acquérir Bullet In A Bible, pour être convaincue du talent et du génie de Billie Joe Amstrong et des ses acolytes.
Car certes, Green Day traîne encore et toujours ses accents américains. Certes, sa musique est encore fortement marquée par le rock US. Certes, le groupe mise beaucoup sur le
look. Certes, Green Day jouit d'une promotion irréprochable digne de ces stars qui additionnent les tubes sans consistance (et en soi, tout cela ne me semble pas si blâmable).
Mais derrière ces aspects, se cache autre chose, de bien plus profond.
Avec Bullet In A Bible, album live de la plus belle tournée du groupe, on redécouvre l'incroyable énergie, la phénoménale vitalité et l'extrême vitalité de Green
Day. Epuré et audacieux à la fois, le groupe s'est offert, le temps d'un concert, la plus belle chance de prouver au Monde sa crédibilité et il n'y a pas manqué.
Car au son de la chanson Jesus Of Suburbia (Le Jésus de la Banlieue), sorte de symphonie punk poignante en 5 actes décrivant avec émotion une société où tout n'est
qu'illusion, où tous sont désabusés, lorsque s'engage le premier vers I'm the son of rage and love(Je suis le fils de la rage et de l'amour) commence alors un portrait
bouleversant d'une jeunesse prête à tout pour exister et ce autrement que la manière dont on l'a définit. Billie Joe, parolier exceptionnel, joue du être / paraître lors de In a land of
make believe(Dans un univers de croyances) That don't believe in me(Qui ne croit pas en moi) et théorise ainsi l'exaspération d'une jeunesse aux
rêves déjà brisés. Cette chanson, surtout porteuse d'espoir quand elle annonce To run, to run away(Courir, s'échapper) ; To find what you believe(Pour trouver ce en quoi on croit) définit, avec un sens nouveau la liberté : être en accord avec soi-même sans se soucier du regard des autres.
Green Day s'impose aussi, comme un groupe engagé, exposant une vision réaliste du monde. Avec American Idiot (idiot américain), il décrit ainsi la
société américaine comme une nation sous l'emprise des médias. Green Day en profite pour dénoncer la société de consommation, qui fait de l'american idiot (allégorie de la
stupidité américaine) un être qui ne sait plus penser par lui-même.
Green Day n'hésite pas non plus à prendre position contre la guerre avec Wake Me Up When September Ends (Réveille-moi quand septembre finit) et surtout
Minority (Minorité), chanson qui rappelle aux dirigeants de tous les pays du Monde Libre que ceux qui dirigent restent encore ceux qui les ont élus et que le peuple a
décidé que la guerre était finie, comme le clame la bande dans Holiday (Vacances).
En plus du fond, la forme de ses chansons restent pour moi absolument remarquable, tant sur le plan vocal (Billie Joe Amstrong n'a rien à envier aux Clash, sa
voix porte et fait vibrer tous ceux qui sauront l'écouter) qu'instrumental (la rigueur punk est complètement de mise).
Il suffira aux plus incorruptibles d'entre vous d'entendre Good Riddance (Bon débarras) pour en être convaincus, Green Day n'a pas fini de nous faire pleurer /
sourire / chanter (et certainement les trois à la fois).
Est-il possible de faire renaître l'énergie punk et la magie musicale d'un groupe quand celui-ci s'est déchiré, lorsque ses deux leaders emblématiques, charismatiques et destructeurs, se sont
quittés dans une haine profonde ?
De ces 7 années chaotiques et tumultueuses, faites de concerts secrets quasi irréels, de unes de tabloïds et de controverses, de disputes et d'amitié bancale, de poèmes et de chansons qui ont
marqué le rock londonien jusque sur les murs de ses rues, il ne reste pour preuve de l'existence de The Libertines que 2 albums et un best-of pratiquement introuvable, quelques vidéos
tremblotantes et des photos toujours trop floues. Mais l'histoire de The Libertines se transmet de bouches à oreilles et les fans se font garant de la mémoire de la bande qui a fait chanté la
banlieue londonienne.
Après 6 ans de séparation, le groupe le plus controversé (et certainement l'un des plus adulé) d'Angleterre s'est reformé pour deux concerts évênements. Les plaies sont toujours là, mais
l'esprit Libertines est toujours bien présent.
Réalisé avec beaucoup de brio, ce documentaire retrace, au fil des répétitions, des entretiens et des clichés rétrospectifs cette étrange reformation. Derrière la fumée, tout semble irréel. Riche
de magnifiques images, d'émotion et de vérité, le film décrit sans concession ce moment bouleversant et fragile et nous livre des images sublimes d'un Doherty qui nous parle avec sincérité (chose
rare et précieuse) du passé des Libertines, d'un Barrat qui s'exprime sur ses souvenirs d'enfant et les témoignages du bassiste et du batteur, témoins impuissants de l'implosion du groupe.
Si les images live sont parfois trop dépouillées, ce film reste néanmoins un sublime témoignage du passé et du présent des Libertines. Comme une preuve certaine que tout cela a bien existé.
Hi ! Hiii ! Hiiiii ! Tous avec moi "Hiiiiiii !!!!" !
Pourquoi tant de joie me direz-vous ? Eh bien pour fêter...
ma toute première publication papier !!!
Hé oui rien que ça ! Me voilà dans les pages du fanzine Malopié numéro 13 ! Alors tous ensemble champaaaaaaagne !!!
J'ai une page tout à moi, où je présente en ESCLUSIVITE les aventures de Wilfried et Théo, un élève très casse-pied et son fidèle compagnon, un oiseau toujours prêt à
inventer de nouvelles bêtises pour rendre folle Madame Dancreuse la surveillante la plus zélée du Monde.
C'est en noir et blanc, c'est beau, c'est drôle et le tout est entouré de sublimes autres contributions d'auteurs encore plus doués et talentueux ! Autant dire que vous ne regretterez pas de
payer la modique somme de 5€ pour acquérir cette petite merveille !!!
Et justement, j'en arrive à comment vous procurer ce petit trésor. Malopié étant un fanzine, vous ne le trouverez que dans certaines petites librairies BD à certains endroits de France :
Pour les autres, je vous propose de vous l'envoyer à dos de chameau par la poste. Je vous offre les frais de port (quelle générosité !) et tout ceux qui passe par moi pour
acquérir Malopié numéro 13 se le verront dédicacé par mes soins, recevront avec cela un magnifique marque-page "Wilfried et Théo" au tirage limité à 35 exemplaires
numéroté et signé ; enfin chacun aura droit à une petite aquarelle format A5 unique faite par môaaaa. Je vous gââââte n'est-ce pas ?
Pour le paiement (5€ je le rappelle) il faut aussi passer par moi, même si je précise que je ne touche pas de royalties (toutes
les recettes du numéro 13 serviront à l'impression du numéro 14 et à payer les frais de l'association). Si vous êtes intéressé, écrivez moi un petit mot en cliquant sur cette image :
ou à cette adresse soakettelasardine@gmail.com pour que je puisse vous donner une adresse où envoyer les sous-sous et que vous puissiez me donner
la votre. Si certains s'avéraient intéressés par un paiement en ligne, qu'ils me le fassent savoir surtout. Je ferais alors le nécessaire pour que cela leur soit possible !
J'en profite pour vous remercier tous, mes petits lecteurs adorés, sans vos encouragements, vos commentaires, vos remarques, vos mots doux, vos délires, jamais je n'aurai eu le courage de me
lancer dans ce projet !
Comme vous avez pu le constaté, je suis un peu absente ces temps-ci, la faute au premier BAC blanc de Français qui approche à trèèès grands pas et qui, même si il est blanc, comptera beaucoup
dans ma moyenne, donc je travaille dur dur pour pouvoir de bonnes notes qui feront joli dans mon bulletin scolaire et qui feront du bien à mon ego.
Cela dit, j'ai assuré le blog et on peut tenir le siège jusque dans très longtemps alors vous ne manquerez pas d'articles.
Même si je ne passe plus sur vos blogs, je me rattraperai très vite en visites dès le début des vacances de Noël. En revanche, je lis bien tous vos gentils commentaires même s'il me manque
cruellement le temps d'y répondre. Mais quand il s'agit de questions, j'y réponds bien évidemment.
Pour ce qui est de l'arbre à mot, je suis obligée de le mettre en pause, au maximum jusqu'au début des vacances... Je vous ferai signe dès qu'il reprendra. En attendant, n'hésitez pas à proposer
de nouveaux mots ou à cogiter sur les mots que vous auriez manqué !
Je reviens très vite avec des tas de projets à vous montrer (une bannière pour une gentille baleine que j'adore et qui est en cours d'élaboration, un big projet avec The Wilmau Factory, mon
imminente publication dans MALOPIE, une BD qui me tiens très à coeur et une autre qui m'est tout aussi chère et certainement aussi le retour de SMOkE, la suite de "Ils", des nouvelles de
l'Hydropopotame et pleins de bulles de savon, bref un tas de choses). On se laisse jusqu'aux vacances de Noël et comme ça ce sera un joli cadeau pour vous comme pour moi (-;
Et si je te disais He He He He He... c'est parce que devine quoi visiteur que j'aime, je suis en interview sur Confidentielles.com !!!! Hi ! Et comme ma tête est grosse comme une
citrouille, je te laisse cliquer comme un grand et aller voir un peu si tu le veux (-: Ya même un dessin I-NE-DIT !
Bisous et merci petit visiteur, parce que c'est toujours grâce à toi ces choses là !
Certains ne savent trop quoi penser des Mondes de Thorgal, série dérivée de Thorgal (le grand, le
génial) qui vient décrypter, éplucher, analyser un à un chacun des personnages phares de l’histoire. J’ai même ouï dire par quelques pessimistes qu’il s’agissait uniquement de se faire des
sous-sous chez Le Lombard et que ces albums tout frais nouveaux ne vaudraient en rien les originaux.
Alors, certes, le trait n’est pas celui de Rosinski ; certes, les lecteurs assidus de Thorgal sont très habitués aux
couleurs directes, technique sublissime qui donne aux albums de la série une dimension extraordinaire, comme si chaque vignette était un tableau ;
mais rappelons que Thorgal, à ses débuts, ressemblait beaucoup à ce que nous retrouvons aujourd’hui dans Les Mondes de Thorgal, donc on n’est aucunement dépaysé. Les personnages thorgaliens, les thèmes qui sont abordés dans la BD etc. correspondent
parfaitement à ce que l’on connaît déjà, seul le découpage du dernier Louve me semble légèrement trop éloigné de la base à mon goût, mais je suis
un brin tatillon. Reste cette petite touche d’exotisme apportée par la nouveauté des collaborations et ça, c’est quand même sympathique.
Il faut donc bien remettre les choses à leur place. Il n’est pas question de comparer le trait de Rosinski qui a eu tout loisirs de se perfectionner au fil des presque 30 tomes
de la série et le trait des petits nouveaux, à savoir De Vita pour Kriss de Valnor et Surzhenko pour
Louve. Car en ce cas, il est certain, les autres ne font pas le poids contre l’un. En revanche, placé hors de cette compétition ridicule,
De Vita et Surzhenko s’illustrent parfaitement, usent avec sérieux des codes de la saga, maîtrisent avec beaucoup de dextérité une série sur laquelle les regards
s’avèrent toujours très sévère car ô combien cotée.
J’ajouterai que, plus destinée (malgré tous les dires de ses auteurs) aux férus de la BD avides de connaissances et de révélations qu’aux tous jeunes initiés, même s’il est vrai que lire
Les Mondes de Thorgal sans ayant jamais lu Thorgal ne pose en soi aucun problème de
compréhension, ce prolongement tient en tout cas ses promesses : pas de prouesses graphiques mais une action toujours palpable, un scénario toujours aussi palpitant, une histoire toujours
aussi poignante. Il suffit pour en être convaincu de s’attarder quelques instants sur la chose : déjà 3 tomes pour Kriss de Valnor et pas une
once d’essoufflement et du côté de Louve, un véritable choc déconcertant. C’est déjà plutôt bon signe et même un véritable coup de force pour deux personnages inoubliables et insubstituables mais
qui restent néanmoins des caractères secondaires.
Aussi, des Mondes de Thorgal il faudra retenir qu’en plus de leur grande qualité esthétique, ils rassasieront tous les affamés de nouveauté, qui
ne sauraient pas attendre la livraison orfèvrique de Rosinski.
*****
Et pour prolonger le plaisirs, un volume inédit décrypte le décrypytage, pour être incollable sur Les Mondes de Thorgal. Des interviews des
auteures, des crayonnés, des planches inédites... Pour les fans et les autres !
Je pensais en allant voir ce film que je serai mauvaise langue dès la première minute car s’il en est bien un que je ne serai pas allée voir de mon plein gré c’est bien celui-là. La honte sur moi
et la reconnaissance sur mon amie Alice que j’ai suivie à contre cœur et pour lui faire plaisirs dans les salles obscures. Car si j’étais sûre de ressortir à moitié endormie, l’autre moitié
dégoûtée, il n’en a rien été. J’ai été agréablement surprise (et même, c’est un euphémisme !).
D’abord, la violence n’est pas un ornement, elle a un « sens ». Les combats, la castagne et les bagarres sont judicieusement placées et ces scènes-même, qui débordent d’une action
haletante et intensive sont filmées avec une dynamique telle que les plus incorruptibles amateurs de film d’auteurs s’avoueront, j’en suis certaine, captivés.
Tout en méticulosité, le film est à l’image de son héros : précis, vif, agile. Une histoire qui sait frapper là où cela heurte le mieux.
Savant dosage entre action mortellement poignante et émotion infiniment touchante, le récit est porté par l’extraordinaire prestance de Liam Neeson dont le charisme m’aura été enfin démontré.
L’intensité de son jeu, la vérité et la force qui se dégagent de sa personne viendront finir de nous achever, nous qui avons déjà le souffle coupé depuis que les lumières se sont éteintes, tant
le suspens est insoutenable. Crispante, l’attente m’a aussi captivante et le tout est ponctué de scènes magnifiques qui en deviendraient presque exaspérantes : mince, un film d’action aussi
palpitant, j’avais pas prévu !
******
Et je conclue cette article avec la très géniale BO du film (-:
Beaucoup d’entre vous connaissent déjà Largo Winch, le multimilliardaire en blue-jeans, sans famille, sans attaches, qui se retrouve à 26 ans à la tête d’un empire colossal de 10 milliards de
dollars.
Pour cette nouvelle aventure, toujours haute en couleurs et en suspens qui constitue la suite très attendue du 17e épisode des aventures du héro Winch « Mer Noire » où Largo
était à nouveau et comme à son habitude empêtré dans une nouvelle affaire peu confortable (en effet, le milliardaire se voit confronté à un nouveau complot dont il est la cible il est accusé de
faire partie d’un important réseau de trafic d’armes). Le droit et honnête (enfin presque) Winch s’embarque alors dans une nouvelle entreprise haute en rebondissements pour prouver à tous et à
tout prix son innocence.
C’est donc un scénario toujours aussi palpitant qui porte ce récit grandiose, rien d’étonnant, le tout est quand même né de la plume du grand Van Hamme (Thorgal ; XIII…). Sans sombrer dans
une effusion de violence, sans sombrer dans de trop grands états d’âme non plus, Jean Van Hamme sait à chaque album faire de son personnage un héro moderne, affranchi des codes héroïques du
surhomme mais aussi de la moralité angélique qui aurait enlevé une bonne part de sa consistance au héro Largo, lequel reste bien ce qu’il est : un superman du buisness.
Accompagné par le toujours aussi parfait trait de Francq, les cadrages très cinématiques, les plans toujours plus fascinants et un découpage toujours aussi dynamique (certainement même plus
qu’aux tout débuts de la série), la palette de personnage sublimement expressifs, le réalisme tout particulier et surtout les décors toujours aussi époustouflants donnent à la BD cette dimension
grandiose qu’on lui connaît depuis ses balbutiements. Et même, on serait tentés de penser qu’à force de presque 20 tomes la saga commencerait à s’essouffler, il n’en est rien et c’est même tout
le contraire. A la lecture de « Colère Rouge », m’est apparu une sorte de renouveau et de renaissance pas du tout désagréables.
Alors que Winch, à la toute fin de l’album inaugure son nouvel immeuble à Chicago et abandonne définitivement les bureaux ancestraux de Nerio, son défunt père, le signal est bel et bien
lancé : l’aventure ne fait que (re)commencer !
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